Retombées de la recherche

C’est drôle, je croyais qu’il y aurait plus «d’action» sur ce sujet lancé chez Pierre Lachance, puis repris chez Stéphane. Tout le monde doit être trop occupé en ce temps de l’année (chez nous, c’est assez Rock and Roll).

http://pierrelachance.net/blog/index.php/2004/10/26/24-la-vie-en-quarante-cinq-heures—jobineries

Il faudrait reprendre la discussion un de ces quatre puisqu’à mon sens, elle soulève la question du rôle et de la place des universités par rapport aux écoles (au sens large et non exclusivement par rapport à la formation des maîtres).

À mon humble avis, je crois qu’une partie de ce qui se fait en recherche trouvera son chemin au fil du temps vers les écoles… sous une forme ou une autre. Quand je regarde les recheches faites en didactiques de mathématiques au cours des années 80, je me rends compte que c’est là où nous en sommes (il ne faut tout de même pas trop généraliser non plus) dans les écoles au début des années 2000. Le tout évolue. Les enseignants sont des professionnels.

Guide, oriente, structure les actions.

je constate que les universités pourraient être davantage à l’écoute du milieu scolaire et qu’elles devraient chercher à jouer un rôle de cataliseur «social» dans le cadre de projets éducatifs. Cela pourrait certainement conduire à de belles réalisations et à une collaboration plus

Clément aurait certainement quelque chose à ajouter sur ce point dans le contexte de sa vision d’une cité éducative.