32 dépôts d’objets d’apprentissage (plus de 200 000 objets à ce jour)

Dans la catégorie slogan «Vous le cherchez, ils l’ont peut-être…», cela peut valoir la peine d’y faire une bonne visite.

Les objets d’apprentissage sont des «granules» de formation en principe réutilisables et réagencables selon différents objectifs ou environnements. Autrement dit, un bon objet d’apprentissage est complet en soi et fait le tour d’un point particulier de connaissance. Ainsi si quelqu’un a besoin de ce point de connaissance, il peut utiliser l’objet d’apprentissage. À lui de l’intégrer dans une démarche cohérente. La taille et la complexité de l’objet ne sont pas considérés. Une simple photo peut-être considérée comme un objet d’apprentissage. Seul compte le fait que le dit objet soit indexable ou puisse être décrit précisément. (Source : Thot)

Compte de courriel gratuit de 3 Go

Une offre de UnitedEmailSystems.com (article sur Branchez-vous). L’interface est même disponible en français.

Wow ! Mais comment font-ils pour financer tout cela?

Il me semble difficile de concevoir qu’ils puissent payer le tout à partir de simples publicités. D’autant plus qu’après une courte recherche sur le web et dans quelques forums, plusieurs internautes rapportent qu’il ne semble pas y avoir de publicité (ni même de la publicité ciblée à la Gmail avec ses comptes de 1 Go).

Y a-t-il un expert dans la salle pour me donner un cours d’économie 101 du cyberespace? Le matheux en moi aimerait bien comprendre. Une telle offre ne me semble pas «logique». Ouin… peut-être devrais-je lire les conditions dans le disclaimer. La réponse s’y trouve probablement 🙂

Dossier : Creative Commons

Comme Mario et Clément l’ont mentionné, Michel Dumais nous offre aujourd’hui un beau dossier tout frais et tout chaud sur Creative Commons :

Si l’on y ajoute ce texte de Framasoft «Creative Commons : Soyons créatifs ensemble, on obtient un beau point de départ, dans la langue de Molière, de ce en quoi consiste les licences Creative Commons.

Vivement la sortie française de la version canadienne (à venir sous peu).

Bonne lecture !

CreativeCommons.ca (hourra!) et droits d’auteur

Via le carnet de Michel Dumais, j’apprends aujourd’hui que la version canadienne de la licence CreativeCommons sera lancée le 30 septembre. Quelle belle et bonne nouvelle !

Au même moment, comme le rappelle Stéphane , des craintes sérieuses sont formulées (communiqué de presse) de la part de divers groupes canadiens reliés au domaine de l’éducation (dont la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants et l’Association canadienne des conseils/commissions scolaires) à propos des changements proposés aux lois sur le droit d’auteur :

les réformes de la loi canadienne sur le droit d’auteur obligeraient les élèves, étudiants et enseignants à payer des droits pour utiliser à des fins pédagogiques du contenu offert librement sur Internet. Source : Branchez-vous.

Voilà qui a de quoi nous préoccuper. Il n’y a pas à dire, même si cela ne vient pas régler ce «problème», le lancement d’une version canadienne de la licence CreativeCommons arrive à un bien bon moment.

Je crois à la production et à la diffusion de contenu de la part des élèves. Tout comme dans un problème de mathématiques, où la réponse n’est pas tant ce qui importe mais bien les stratégies mises en oeuvre lors de la démarche de résolution, la richesse pédagogique provient du processus de création. Puis, lorsque l’on diffuse notre production au monde entier, l’authenticité de la tâche ne fait aucun doute. Les technologies actuelles permettent de créer du contenu et de le diffuser plus facilement qu’il n’a jamais été possible de le faire. À mon sens, cela implique en conséquence qu’il est de notre responsabilité d’enseignants et d’enseignantes de sensibiliser les élèves à l’importance de faire valoir leurs droits d’auteur sur le contenu de leur création via l’utilisation de la licence CreativeCommons.

Le lancement de la version francophone (qui suivra peu de temps après la version anglophone du 30 septembre) créera une occasion en or pour amorcer une réflexion en ce sens. Peut-être aurons-nous la chance de lire les jeunes carnetiers de l’Institut Saint-Joseph à ce sujet. Alors que l’on apprend que «les billets pleuvent», qu’il serait beau de voir chacun des élèves choisir sa propre licence CreativeCommons et ensuite l’apposer sur son carnet 🙂

J’espère entendre beaucoup beaucoup beaucoup parler de la CreativeCommons dans nos milieux scolaires.

Résurrection du «Matheux curieux»

Un serveur, c’est un ordinateur. Un ordinateur est une machine et une machine… ça peut briser. Après avoir soigneusement préparé mon serveur au début du mois de juillet, afin d’être fin prêt en ce début d’année scolaire, voilà donc que le disque dur de celui-ci décide de rendre l’âme sans crier gare à la mi-août. Ouin… un peu tannant. «M’enfin!», comme le dirait si bien ce cher Gaston Lagaffe, revoilà le tout fonctionnel. Je suis donc prêt à me lancer dans l’univers des carnets. Je ne sais pas quel sera mon rythme de publication, mais j’ai décidé de ne pas me mettre de pression quant à cela.

Je souhaite à toutes et à tous une merveilleuse année scolaire 2004-2005.

Charge de cours disponible sur l’historique des mathématiques à l’UQO

L’Université du Québec en Outaouais recherche en ce moment une personne pour donner une charge de cours qui porte sur l’historique des mathématiques. Si vous êtes qualifié et intéressé, vous devez contacter, le plus tôt possible, Roxanne Constantineau au 595-3900 poste 4413.

Recherche une ou un visionnaire pédagogique en matière d’intégration des technologies éducatives

Le titre du billet dit tout…

Offre d’emploi

Les personnes intéressées ont jusqu’au 14 juillet 2004 à 15 heures, pour poser leur candidature.

Si certaines et certains étaient intéressés, je suis ouvert à répondre aux questions (contexte scolaire franco-ontarien, milieu de vie Outaouais/Ottawa, etc.).

Refusé à l’université parce qu’il parle français à son chien-guide!

L’art de ne pas faire preuve de jugement 🙁 . Rigidité administrative… quand tu nous tiens. Cela se passe presque de commentaire… Il y a des jours où l’on se demande si l’on est bien en 2004 !?!?

[Ironie] Quel bel exemple de rélexion sociale nous donnons ici aux jeunes [/Ironie]. Si nous avions été durant l’année scolaire, cela aurait constitué une occasion incroyable d’éducation à la citoyenneté pour les élèves.

Je ne peux que vous encourager à manifester votre indignation devant une telle position de l’Université du Nouveau-Brunswick. Via Laurent :

« Academic standards are academic standards.” Bullshit, Madame Susan Mesheau ! Ce genre de discours administratif, réglementaire, borné et, finalement, inhumain, laisse pantois. Protestations : University of New Brunswick. Susan Mesheau, Director Student Recruitment and Integrated Marketing, smesheau@unb.ca.